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» Délires et Jeux » Faire un poème avec un mot
Commentaires
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Posté le 12/11/2011 à 19:23:51
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DÉMANGEAISON Distinction de ceux qui s'entortillent sans arrêt Et essayent de calmer leurs problèmes cutanés Même dans un vain espoir de soulager, gratter, gratter Apaiser, enfin, cette sensation dérangeante Ne plus souffrir, enfin la paix, l'extase Gravir les marches du calme en une folie grandissante Et un fou qui s'endort au coté des grands menaçants Apollinaire en est le maître il reste le dieu de l'antiphrase Inqualifiable réussi en une vie à voler aux poètes toute leur phase Soupir de l'esprit qu'une plaie démange encore Oubli tant espéré de cette grattouille qui me mord Néant qu'est ma peau brûlée, ma chair lacérée jusqu'au sang |
TheThing  |
Posté le 23/11/2011 à 13:05:27
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MENDICITE |
| Lorenzo |
Posté le 23/11/2011 à 14:05:23
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MENDICITE Menues,ses pognes se tournaient face aux cieux E N D I C I T E |
Blackflag  |
Posté le 06/12/2011 à 02:19:52
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Menues, ses pognes se tournaient face aux cieux Encore et toujours son regard tendu vers N D I C I T E |
Lucyline  |
Posté le 17/01/2012 à 12:20:26
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Menues, ses pognes se tournaient face aux cieux Encore et toujours son regard tendu vers Notre père trop sourd pour entendre sa prière D I C I T E |
| MarieVenture |
Posté le 18/01/2012 à 18:14:55
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Hockey! |
| Intruder |
Posté le 18/01/2012 à 19:33:29
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Haringay Oklaomha Cardiff Kassel Edmonton Yaroslavl |
| Intruder |
Posté le 19/01/2012 à 18:21:48
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Menues, ses pognes se tournaient face aux cieux Encore et toujours son regard tendu vers Notre père trop sourd pour entendre sa prière D'instinct Le fils qui entendu la prière I C I T E |
| Jonathan |
Posté le 28/01/2012 à 05:14:46
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Menues, ses pognes se tournaient face aux cieux Encore et toujours son regard tendu vers Notre père trop sourd pour entendre sa prière D'instinct Le fils qui entendu la prière Incertain mais véritable cri silencieux C I T E |
| Lucyline |
Posté le 14/04/2012 à 03:28:14
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Menues, ses pognes se tournaient face aux cieux Encore et toujours son regard tendu vers Notre père trop sourd pour entendre sa prière D'instinct Le fils qui entendu la prière Incertain mais véritable cri silencieux Clochard sans sous pleure sa foi I T E |
| nicky |
Posté le 14/04/2012 à 13:43:46
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Menues, ses pognes se tournaient face aux cieux Encore et toujours son regard tendu vers Notre père trop sourd pour entendre sa prière D'instinct Le fils qui entendu la prière Incertain mais véritable cri silencieux Clochard sans sous pleure sa foi Innocent que tant de liqueurs oblitèrent T E |
| spock27 |
Posté le 14/04/2012 à 14:28:12
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Menues, ses pognes se tournaient face aux cieux Encore et toujours son regard tendu vers Notre père trop sourd pour entendre sa prière D'instinct le fils qui entendu la prière Incertain mais véritable cri silencieux Clochard sans sous pleure sa foi Innoncent que tant de liqueurs oblitèrent Tant d'espoirs mortifères E |
| People Are Strange |
Posté le 14/04/2012 à 18:01:25
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Menues, ses pognes se tournaient face aux cieux Encore et toujours son regard tendu vers Notre père trop sourd pour entendre sa prière D'instinct le fils qui entendu la prière Incertain mais véritable cri silencieux Clochard sans sous pleure sa foi Innoncent que tant de liqueurs oblitèrent Tant d'espoirs mortifères Ecoute le vent qui te rappeleras les autres fois |
| singer64 |
Posté le 30/04/2012 à 00:40:03
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METAMORPHOSES M'éloigner petit à petit d'un passé poissard E T A M O R P H O S E S |
| Lucyline |
Posté le 01/05/2012 à 00:56:47
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METAMORPHOSES M'éloigner petit à petit d'un passé poissard En me regardant une dernière fois dans le miroir T A M O R P H O S E S |
| Marikita-501 |
Posté le 04/07/2012 à 20:59:28
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M'éloigner petit à petit d'un passé poissard En me regardant une dernière fois dans le miroir Triste est mon doux regard lors je broie du noir Âme noyée de souvenirs quand il est trop tard M O R P H O S E S |
| Lucyline |
Posté le 07/07/2012 à 19:33:38
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M'éloigner petit à petit d'un passé poissard En me regardant une dernière fois dans le miroir Triste est mon doux regard lors je broie du noir Âme noyée de souvenirs quand il est trop tard Mon mal est très profond mon coeur en grande peine Rien ne saurait apaiser toute cette haine P H O S E S |
| Gwion Bach |
Posté le 07/07/2012 à 22:22:05
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M'éloigner petit à petit d'un passé poissard En me regardant une dernière fois dans le miroir Triste est mon doux regard lors je broie du noir Âme noyée de souvenirs quand il est trop tard Mon mal est très profond mon coeur en grande peine Rien ne saurait apaiser toute cette haine Pâle reflet de mes errances je cherche un phare Horizon creux d'actes manqués, d'élans inachevés Océan de vœux avortés, l'indifférence s'est élevée Sur l'aile meurtrie j'ai laissé sa voix au hasard E S |
| Harmonie |
Posté le 25/07/2012 à 20:27:39
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Sur cette terre mystérieuse, mes valises j'ai posé Ici perlent les larmes quand l'âme est abîmée Tout s'éclaire d'un mot tendre pour cette plaie soigner Éveillée, l'âme du poète s'envole pour composer P O U R N O U S T O U S |
| Harmonie |
Posté le 08/08/2012 à 10:56:09
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Sur cette terre mystérieuse, mes valises j'ai posé Ici perlent les larmes quand l'âme est abîmée Tout s'éclaire d'un mot tendre pour cette plaie soigner Éveillée, l'âme du poète s'envole pour composer Parfois au fil des mots écrit ce qui l'inspire Où son vers en émoi lors touche un autre coeur Un beau texte se partage et l'essence en soupire Rayonne en cet écrin bien chichement l'ardeur Nos délires partagés aussi fugaces soient-ils Ouvrent dans nos mémoires un souvenir subtil, Une plume assoiffée de commentaires d'amour Suffit à reconstruire la destruction autour . |
| MarieVenture |
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