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» Tout et rien » Naissance des poèmes
Commentaires
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Posté le 22/08/2006 à 21:41:44
non juste comme ça :) j'aime bien ta façon de t'exprimer | |
noono |
Posté le 22/08/2006 à 21:53:42
Pour écrire un poéme, je puisse mon imagination dans ce que je voie ou ce que j'entend, sa me donne tout de suite un vers en tête si sa m'inspire ( je le note, car sinon j'oubli) et je le travail, trouve une suite...parfois sa fuse et en 10mn j'ai mis tout ce que je voulais et sa me plai, sinon parfois je passe toute une journée ou des semaines devant à changé sans cesse mes vers...pour au final ne rien en faire car sa me déplai... Et j'écris aussi ce que je ressens, je l'écris, en brute tout simplement, et quand ça me tient à coeur je le travaille. Voilà comment j'écris le plus part du temps |
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MudeGirl |
Posté le 23/08/2006 à 19:40:43
ok à peu près comme moi, moi j'écris directement dans le site. bises, | |
plustout |
Posté le 01/11/2006 à 08:47:33
moi je fonctionne aussi comme mudegirl...une idée trotte dans ma tête, je la note, elle se transforme en rime.....dans mon pc il y a bien 20 fichiers ouverts acec des bribes dedans...! :-) parfois le texte sort en 10 minutes, parfois il faudra des mois pour aboutir... les premiers poèmes étaient plus faciles, j'avais tant de choses à exprimer sur ma vie... amitiés, nico |
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Nicolas PILMANN |
Posté le 05/11/2006 à 07:03:23
désolé, je ne suis pas souvent là ... entre les ateliers d'écriture, le festival d'Aix et les concours où je fais partie du jury, il faut aussi que je trouve du temps pour travailler pour mes interprètes ... voici ma façon principale d'écrire des textes de chansons ( ou des poèmes et pour les nouvelles c'est pareil, mais là, il n'y a pas de refrain ! ... ) Bernard http://chantsongs.hitmuse.com POUR LE REFRAIN Y a la foule Qui déambule Qui s’écoule Qui gesticule Mais tous ces gens Autour de moi Tous ces vivants Je les vois pas Voici que je planche Dans la fureur La feuille est blanche Quand je l’effleure Mon esprit vole Et s’entortille Donne la parole Au stylo-bille Sur le papier Je pose des mots Petits clichés Dans le métro Dans le métro Je cherche une rime Avec entrain Et j’ai en prime Un pied de trop Pour le refrain Y a la feuille Dans la pagaille Qui accueille Quelques trouvailles J’ai les contours D’une chanson Bien vite je cours À la maison Il faut que je branche L’ordinateur Je me retranche Pendant une heure Je sens que je frise Une overdose Ma tête se brise Je fais une pause… C’est pas fini Il manque un pied Je réfléchis Minuit passé Minuit passé Je cherche une rime Avec entrain Et j’ai en prime Copier coller Pour le refrain Bernard PICHARDIE http://chantsongs.hitmuse.com |
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1950 |
Posté le 05/11/2006 à 11:55:28
tres joli 1950 :D En ce qui me concerne je ne cherche pas à faire les plus beaux des poemes je n'écris que ce qui me passe par la tête ça ne rime pas forcément ce n'est pas forcément joli écrit mais je me comprends et ça m'aide beaucoup d'écrire. Mais dans les poemes que je poste,parfois j'enlève quelques phrases ou mots car euh j'arrive pas trop à expliquer pourquoi :p Mon inspiration me vient dès que je ne vais pas bien,dans mes coups de blues par exemple.j'ai un ti faible pour les poemes tristes :p Depuis plusieurs années j'adore les poemes j'ai visité beaucoup de sites et j'en ai écrit que trés peu et quand je suis arrivé sur ce site;vous m'avez tous donné envie d'écrire,d'écrire mes sentiments qu'ils soient joyeux ou non. Bravo à tous pour vos poemes, continuez à me faire rêver Amitié titi |
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titi |
Posté le 06/11/2006 à 18:35:05
titi, heureuse que le site d'icetea t'aie donné envie de nous rejoindre...on est beaucoup à avoir réagi comme toi...on cherche, on cherche et un jour...icetea ! et là, on sait, on sent que c'est le bon ;-) | |
Sadness_Angel |
Posté le 15/01/2007 à 18:57:04
Je pense que j'écris depuis que j'ai appris à tenir un crayon. j'ai toujours adoré les cours de français, à l'école j’écoutais ceux de la classe au-dessus tout en faisant mon travail à moi, ce sont mes rédactions que l'on lisait. Depuis aussi longtemps que je me rapelle, j'ai toujours aimé jouer avec les mots, les phrases, leur sonorité, leurs tournures pour trouver la meilleure et la plus jolie façon de dire les choses. Avec le temps, j'ai éprouvé de moins en moins de plaisir à rédiger de la prose : c'était trop facile, trop bavard, trop long, d'une structure trop libre... Alors, à mon rythme, j'ai appris la prosodie avec ses régles strictes, ses schémas que l'on peut compliquer à l'infini, son obligation d'entrer dans l'essentiel dès le départ, de rester dans son sujet. Je pense que l'on peut dire beaucoup plus de choses en beaucoup moins de mots avec la poésie et c'est vrai que moi, je mets beaucoup de choses dans mes poèmes. Chez moi l'écriture est un processus très long, le fruit d'une longue alchimie dans les replis de mon inconscient : l'idée de départ mûrit, se transforme, des brins d'autres choses s'y agglomèrent durant des semaines, parfois des années. Pour moi, écrire c'est d'abord me plonger au tréfonds de moi-même pour explorer, tenter, découvrir, peut-être trouver ; c'est une expétion non sans risque dans mon inconscient. J'écris pour me "vider", un peu comme une psychothérapie et un jour mon crayon à papier distille ses mots, chantourne ses phrases, bouleverse le schéma de départ. J'écris surtout le matin, l'esprit tout embrumé de vagues souvenirs de rêves. Je vais vraiment puiser au fond de moi-même et il faut croire -soit dit sans aucune prétention- qu'il y a de la matière là-dessous ! Dans mes textes, il y a beaucoup à saisir derrière les mots noirs sur blanc. Moi, je parle très peu, ou alors, me semble-t-il, je m'exprime d'une façon embrouillée, l'oralité ça n'est pas mon truc. Mais depuis toujours, soit dit sans aucune prétention, les gens aiment ce que j'écris. Lorsque j'écris, je suis libre de prendre tout mon temps pour trouver la bonne tournure, les mots exacts, il n'y a personne pour me couper la parole (ce qui est très facile car je n'ai pas de voix !). C'est sûr, mes écrits sont "pleins", ils débordent de choses intimes incorporées inconsciemment et qui entrent en résonnance avec l'intimité de mes lecteurs. J'écris dans une intense jubilation et en même temps dans un état de grande excitation, de très grande concentration intellectuelle : je "rentre" à l'intérieur des mots, je les visite comme on visiterait une maison. Je construis mes textes comme un maçon bâtit son mur : au début, c'est compliqué, il faut établir un plan, aller chercher les pierres qui peuvent convenir, applanir le terrain (pour moi, se vider la tête de tout autre chose), faire le tri parmi ces pierres accumulées (parmi mes notes, mes listes de mots, mes bouts de phrases), et puis commencer, prendre les pierres les plus solides, (mes notes les plus abouties), les poser les unes à la suite des autres, vérifier l'alignement (le schéma du poème), ajouter du mortier pour qu'elles s'assemblent, passer à la deuxième rangée, à la troisième, etc., vérifier la droiture au fil à plomb (lire à haute voix pour vérifier la musique des phrases). Mais si le bas du mur est ardu, plus on monte plus les pierres s'assemblent comme d'elles-mêmes, les phrases se font presque toutes seules, je suis poussée par ce que j'ai accumulé depuis des mois ou des années et qui a enfin trouvé la bonne porte pour sortir. N'empêche j'emmerge de cette entreprise aussi épuisée que si j'avais couru un marathon : c'est très jouissif mais ça pompe une énergie ! Je choisis mes mots avec gand soin, pour leur musique, leur pouvoir évocateur, pour leur résonnance dans mon symbolisme personnel. Pour cela je n'hésite pas à m'immerger durant des heures dans mes rayonnages de dictionnaires, à chercher dans l'ancien français, dans le français de la Rennaissance, dans le français classique, dans l'argot, dans les parlers régionnaux, dans le grec moderne. Si je ne trouve pas, j'invente, je fabrique, je bricole les verbes, les adjectifs... Il y a deux lectures dans la plupart de mes poèmes : l'une superficielle, qui se contente du "coulé" des phrases, de la musicalité des mots, du baroque des images et puis une autre pour qui sait déchiffrer les symboles. D'ailleurs je les fais suivre d'un lexique lorsque je veux expliquer un mot rare, bien préciser dans quelle acception j'entends tel autre mot, tel symbole qui, sans cela, passerait inapperçu et parfois aussi d'où vient l'inspiration première d'un poème. Je plonge souvent dans "Le Dictionnaire des Symboles" de la collection "Bouquins" et aussi dans "Les Livres des Supertitions, mythes, croyances et légendes" toujour dans la collection "Bouquins". Dominique. http://www.venez-chez-domi.fr/blog/ |
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Dominique |
Posté le 19/01/2007 à 21:04:43
Moi l'écriture de poèmes ça m'est venu comme ça du jour au lendemain,ce n'est pas aussi vieux que ça d'ailleurs ça doit faire 2 ans à peine,ça a été une façon d'exprimer mes douleurs par l'écriture comme les joies et sinon pour les écrire je ne fais jamais de brouillon j'écris ce qui me sort de la tête à part quand je vois que ça ne fait pas trés bien ça m'arrive de modifier si je trouve des choses meilleures. | |
Mariel |
Posté le 23/01/2007 à 23:45:45
la poésie?...ça démarre... par un vers qui se plante au plus profond de nous, et là on crie! on crie et on déverse alors nos sentiments jusqu'aux bouts des doigts! Puis plus tard, on écrit... sans cesse parfois! si peu parfois... alors on repuise quelque un nouveau vers qui va nous redonner les rêves et les passions...et on réécrit... |
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Phivos |
Posté le 27/01/2007 à 14:44:27
moi ça fait apeprès 7ans que j'écris des poème, depuis l'age de 7 ou 8 ans.Et oui, déja toute petite j'avais besoin de "poser" mes sentiments sur le papier...Et puis peu à peu, en grandissant, j'ai compris que l'écriture serais pour moi plus qu'un simple loisir.Depuis,j'écrivais dès que je le pouvais.Et puis un jour, par hazard, je suis tombée sur Icetea et j'ai découvert que je pouvais faire partager mes poèmes avec 'autres personnes "comme moi"; depuis ce jour j'écris en sachant que d'autres pourront partager mes sentiments... | |
nuage |
Posté le 30/03/2015 à 05:56:32
Bonjour, j'ai lu vos messages avec intérêt. Vous parlez des motivations qui vous poussent à écrire. De l'état d'esprit où vous êtes. De la façon spontanée ou réfléchie d'écrire. Il y a presqu'autant de manière de donner naissance à un poème qu'il y a de personne. Quand un poème me touche c'est qu'il réveille des émotions, des choses personnelles et vécues. Si j'écris mes émotions, ou mes histoires vécues, est-ce que cela en fait des poèmes ? Parfois, même en écrivant de façon aléatoire, des idioties, j'arrive à construire quelque chose qui a du sens pour moi, mais pas forcément pour les autres. En résumé, j'écris par période, par besoin, pour le plaisir de jouer avec les mots, pour faire dialoguer mon passé et mon présent, je pense rarement au résultat final. C'est un exercice intuitif et mental à la fois, c'est personnel et en même temps avec le besoin d'être lu. J'aime bien ce site car il permet des échanges à travers les commentaires et les messages perso. L'idée des poèmes duo c'est bien, mais il y a peu de personnes qui se lancent, c'est dommage. J'ai commencé à écrire de la poésie quand j'ai eu accès à l'internet. Avant je trouvais l'écriture et la lecture très ennuyeuses. Aujourd'hui je trouve cela très enrichissant pour le développement de sa personnalité et pour son équilibre. Si vous lisez mon message, je vous souhaite d'osez écrire, même si parfois cela fait peur. Il suffit de griffonner le papier, pas besoin d'ordi au départ. Après on peut réécrire sur l'ordi, et le partager, même si il n'y a pas de commentaire au final. Moi je trouve ça stimulant de savoir que ce que j'écris pourra être lu. Après je préfère pas écrire des choses trop intimes, ça ça reste privé. Voilà, bonne écriture et merci à ce site d'exister ! Amitiés |
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invigene |
Posté le 02/04/2015 à 12:01:33
Une réponse pour "invigene": Il y a toujours moyen d'écrire des choses intimes ou privées en les attribuant à un tiers non identifié et puis il y a la protection du Pseudo. J'ai déjà employé ce subterfuge quelquefois. Quant à mes idées d'écriture elles découlent d'une situation isolée par mes sens,et parfois par un ou des mots prononcés ou lus qui m'interpellent sans bien connaitre la cause profonde et c'est tout, ensuite j'écris en poésie libre . |
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TANGO |
Posté le 09/04/2015 à 12:50:17
Précisément j'ai écrit un sonnet sur comment j'écris mes sonnets. Tout commence avec ma muse : Quelques-uns de tes mots, un propos émouvant, La vérité sans masque, une simple parole, Embrasent mon esprit qui vif argent s’envole Au Parnasse exposer mon amour si fervent. Je plante ce beau grain, mon âme l’abreuvant, Dans mes deux premiers vers de règle bénévole, Pour que leurs rimes soient les points d’une boussole Qui pilotent ma plume aux quatre coins du vent. Arrivés les tercets, je prépare la chute, Le type de sonnet, si le genre permute, Afin de consommer mes stances à ton cœur. Pour te rendre immortelle et te caresser j’ose Me croire digne d’être un troubadour vainqueur, Finir l’art de ma vie en une apothéose. |
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Pierre de Coeur |
Posté le 14/06/2018 à 19:19:02
On s'est noye dans les avenues Des voyageurs somnambules Des comediens farceurs Comme un tourbillon crepusculaire californien |
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Babel |
Posté le 16/06/2018 à 15:29:40
a la faveur de mes nourritures un mot une rencontre mes emotions la vie ou la mort |
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marinette |
Posté le 03/11/2018 à 17:06:18
Souvent pour ecrire un poeme, je m'inspire des sensations qui impregnent mon ame sur le moment, cela peut etre porte par une chanson, un roman, un souvenir, le moment present, mes angoisses, les reves de la nuit passee... En tous les cas je pense qu'il y a beaucoup de matiere pour y puiser une inspiration ! | |
grêle |
Posté le 03/11/2018 à 18:39:31
Mes poemes naissent du neant, de l'oisivete, d'une vague suggestion, du sentiment de vacuite qui m'envahit quelquefois aux moments creux du jour ou de la soiree. Jamais je ne ressens le besoin d'ecrire, et pourtant ils viennent s'inscrire dans mes fibres, et je saisis aussitot les bribes qui me sont confiees venues de ce neant fertile, et j'ecris le premier vers toujours offert. A moi de trouver la suite a enchainer ! Les emotions prennent le relais, et avec elles le cortege memoriel des souvenirs et du vecu passe et present, puis aussi les occupations de l'esprit, et c'est ainsi que je me dirige vers le vers final. Enfin, je dois preciser que la musique, classique ou electro-planante, m'aide pendant le processus d'ecriture, en generant certaines emotions probablement. |
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jacou |
Posté le 03/11/2018 à 20:44:16
Face aux emotions qui m'entourent , je suis une veritable eponge ...je m'impregne presque malgre moi de ce que je lis ,ce que je vois ou ce que j'ecoute ... Puis je sens l'envie d'ecrire et me retrouve a chercher mon vieux support : le papier et le crayon , du moins pour l'idee initiale, pour ne perdre "banet afkari" : les filles de mes pensees... |
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Yuba |
Posté le 04/11/2018 à 17:55:46
Tout pareil que Yuba , Et je pense que notre vecu a une importance immense sur le pourquoi et le comment on ecrit. |
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Estaile |
Commentaires
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