Printemps, pourquoi viens-tu galvaniser mon âme,
Moi qui n'attendais plus de l'hiver que tourments ?
A l'aube, poserai mes pas en te suivant
Et me délesterai de tant d'années infâmes.
Au temps où l'amitié avait ma préférence,
En mon cœur s'immiscaient d'intimes convictions,
Aveugle, j'ai cherché juste un peu d'affection,
Juste un peu de chaleur malgré l'indifférence.
Le doute et le soupçon répandaient leur venin
Dans le silence froid, sous l'horizon carmin.
A l'heure du pardon, n'en reste aucune trace :
J'ai trouvé le bonheur au détour d'une route.
Je pourrai regarder le soleil face à face
Lorsque le temps viendra de ma dernière joute.
Écrit par 1957
La poésie c'est comme le champagne, elle pétille dans mon âme
Catégorie : Amour
Publié le 12/07/2008
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Amour à découvrir... | Poèmes de 1957 au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 13/07/2008 à 01:56:42
Cest vraiment beau... autant les sentiments véhiculés que la façon de laquelle il est écrit. Bravo pour ce poème |
|
JeSsiica |
Posté le 13/07/2008 à 19:44:43
Très beau ! | |
louann |