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Je me suis abreuvée à la source des rêves,
J'ai goûté son nectar et m'y suis enivrée
Tout en priant le jour de ne pas m'éveiller
A l'aube, à l'apogée de la divine trêve.
Le vent m'a dévêtue d'un souffle maladroit
En défroissant les plis de ma robe légère ;
La lune, me veillant, souriait à la terre
Et, dans le firmament, illuminait les toits.
Phébus, mon beau Phébus, si j'aime ta chaleur,
Dans mes rêves, peuplés d'espoirs ou de douleurs,
J'ai rencontré la paix qui fuit le vaste monde.
Je lui ai demandé : - pourquoi tant de misère ?
- Où t'en vas-tu errer lorsque tu vagabondes ?
- Les hommes, leurs fusils ont éteint ma lumière !
Écrit par 1957
La poésie c'est comme le champagne, elle pétille dans mon âme
Catégorie : Divers
Publié le 01/08/2008
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Commentaires
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Posté le 02/08/2008 à 00:14:41
Je suis d'accord, un poème plein de charmes. | |
I-ko |
Posté le 30/12/2008 à 18:38:37
C'est simple, c'est doux, c'est de la poèsie... Rêver en écrivant, c'est faire de la poèsie en chavirant... |
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gl91 |