Il était une ville de bougies et de cierges ; les ombres y mimaient des étincelles, des instants de survie.
Il était une église de vierges dans un jardin enchanté, mortes en perdant la vue.
Il était un monde cruel !
Au présent surnaturel.
Au milieu de l'univers, en son centre ;
Au bord du précipite ; je bois encore :
Et encore...
Laisse apercevoir
Les fenêtres, les portes, les plafonds, les sols et les murs
D'une tour.
Une vague somnolente me vide...
© Adelino Dias Gonzaga. 2011. Tout droits réservés.
Écrit par Adelino Dias Gonzaga
Auteur du recueil de poèmes : "L'Amour du Fou", (c) 2015 édition promenade. Disponible sous le Adelino Dias Gonzaga sur amazon.comblog personnel : http://le-present-paranoiaque.com"
Catégorie : Divers
Publié le 23/05/2012
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Commentaires
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Posté le 23/05/2012 à 20:41:45
C'est franchement pas mal, ce vers qui contient une petite faute d'ailleurs me plaît bien, "une vague somnolence me vide", ou alors tu conjugues, le verbe somnolenter. al; |
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spock27 |