Deci delà amincis et las, de haut en bas tu vas et viens, dans un fracas tu parviens à te jouer de moi, tu farcis mes idées lacis d'un sournoi mépris, puis l'empli d'un désarroi endurci et flétri par le temps.
Dépendance nocive, cette acouphène sentimentale est viscérale, elle croit, je ne sais pourquoi...
C'est avec éffroi que je me morfonds sans voir au delà des parrois dérisoires qui se dressent avec paresse dans mon esprit, prit de vitesse par la mélancolie qui, telle une belle caresse fait jaillir la détresse avec allégresse.
Je gaspille ma jeunesse à idolatrer une éventuelle banalité affreusement indiférente. Je vacille avec maladresse, pénétré par une cruelle dualité atrocement récurrente.
L'appétence se dérobe car, abattu par un ouragan de sollicitude l'aspiration laisse place au marasme.
Écrit par Adrien314159
ouaip
Catégorie : Amour
Publié le 11/05/2018
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Le titre est frappant ...le contenu est encore plus mélancolique ...bravo ! Amitiés :) |
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Yuba |
Superbe poème en prose, je le garde en tête ! | |
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