En pleine campagne ou l'aire, se fume
Le poète écrit des vers et se résume.
L'esprit de la solitude vie dans sa plume
Là-haut, je contemple les cieux sans brume.

Seul au monde ne respectant aucune loi,
Vivant semblable à Saint-Thomas sans la foi.
J'ai été abandonné, seul, rejeté, et élu roi.
Ma grande renommée fait fuir les villageois

Dans les cités d'Italie, je suis le fruit du rejet,
Craint de tous, ils me cachent leurs visages
Qui suis-je vraiment pour inspirer la peur ?
Suis-je vraiment si unique comme dit papa ?

Ô ma douce souffrance qui mouille ma couche
Chaque nuit déverse ta peine sur les mouches
Noir qui pousse mon âme à une mort louche.

Ô, ma douce sérénité approche et illumine
Ma vie parfumée de Jasmins sur les collines
Flottante bercé de somnolence où je domine
Finalement les épilogues d'une longue routine

L'horloge tourne en silence, sans un rire
Avec un fidèle ami sage, je vois fleurir
Mes années petit a petit sans concourir
Le temps, juste quelque temps pour mûrir.

L'ivrogne chante nu dans son hallucination,
Complètement seul, les jardins de l'affliction
Blesse ces membres devant ces consternations
Incessante. Il meurt avec beaucoup de mutilation.