Entendez ces bruits étranges qui résonnent
Déchirant l'harmonie, il voit l'oppression
Vêtue de sang et d'arme, mais personne
Ne vole à son secours, dans la pression
Agonise délicatement les firmaments,
Dans de mélancoliques souvenirs lointains.
À l'aide ! Au secours, dit-il bruyamment
Personne n'est venu pas même Florentin
Son amie datant de sa pauvre enfance.
Amertume, colère, tristesse, idée noire
Prenant goût à le hanter, aux souffrances
De ces larmes, n'ayant que sont manoir
Poursuivie par tant de chimères rusées,
Dévorant à petit feu la vie de cet être
Il crie, hurle, pleure, rage ayant nausée
Et douleur vive a l'âme disant traîtres !
Malheur a la vie de m'avoir fait ainsi.
Admirant une dernière fois les étoiles,
Soudain toc toc qui est là ? La mort
Ouvre-moi, donne-moi tes fardeaux
Adieu dit-il avant de rejoindre la mort
Sur l'immense grand dragon sans peaux.
Il mourut et fut enterré parmi les centaures.
Écrit par Akyranos
La plume de l'écrivain est son souffle de vie qui le fait renaître de ces cendres.
Catégorie : Triste
Publié le 17/11/2017
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Il y a de la noblesse dans la mort, comme dans le lion qui délaisse les restes d'un cadavre aux hyènes de la savane .. Et c'est le trépas d'une âme noble que votre joli poème raconte .. | |
Babel |
Merci Babel | |
Akyranos |
Vous construisez votre mythologie, Akyranos, entre centaures et chimères. J'apprécie votre bon poème. | |
jacou |
Merci Jacou oui je me suis dit qu'il faut que je soit plus créatif. | |
Akyranos |
Un très beau poème qui marque une histoire gravée à jamais dans les mémoires. Bravo Akyranos. | |
suane |