Hier soir encore, au nez des étoiles,
j'ai pris tout ton corps, j'ai levé les voiles,
tu n'étais pour moi qu'un autre virage,
mon cœur en émoi boudait le voyage.
Hier soir pourtant, sous la lune blanche,
je n'aimais rien tant, que tes jolies hanches,
qui se balançaient au rythme des miennes,
qui sous mes essais semblaient magiciennes.
Hier soir enfin, le cœur au repos,
moi je n'avais faim, que de ta nue peau,
et lorsque Morphée me ferma les yeux,
tu n'étais qu'une fée sans grand merveilleux.
Mais lorsqu' au matin, à l'heure du réveil,
dans tes yeux satins, j'ai vu le soleil,
le bel éclat fou sortant de tes émeraudes,
j'ai senti en nous un amour qui rôde.
Tu n'étais qu'une nuit, et tu es ce matin,
et tu es aujourd'hui, et tu seras demain,
tu n'étais qu'une femme qu'on aime pour rire,
tu seras la flamme de mon avenir.
Écrit par Alexandre-glaucos
Lilith et Psyché se disputent mon âme .
Blog de timeotiange ( pas le mien mais c'est important ! ) Catégorie : Amour
Publié le 01/09/2007
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Ooooh très très joli Alexandre ! | |
Diane |
C'est superbe, très beau poème. | |
Michka |
Plein de douceur et de carresses... tres joli. |
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arc en ciel |
Encore un chef d'oeuvre BRAVO ;) Merci pour ce super poème ;) | |
nade77 |
Waouh Waouh ! Si c’est une perle rare fait tout pour la cacher. Pourvu qu’elle puisse lire ce poème un jour, elle a piqué ton cœur et c’est très touchant cette tendresse. | |
MASTAHA |
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