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Je me souviens de lui, de ses sourcils courbés
Quand un peu pathétique, je lui ai demandé
La main de la cadette qu'il semblait adorer...
Et des pleurs dans ses yeux, et des joues mouillées....
Il n'avait plus de voix, mais en m'ouvrant les bras
Je crus qu'il disait oui avec de grands regrets,
Sa fille agenouillée, le suppliant : « Papa ? »
Et moi, balbutiant : « Ne soyez pas inquiet... »
Elle était vierge encore et le père déchiré,
Je n'avais pas compris, pensait postérité.
Il restait là, prostré dans une joie profonde
Alors que je croyais le mettre dans la tombe
Et puis, lui, d'un seul coup, quittant mon échafaud,
Grogna : « Faites m'en cinq et qu'il soient tous bien beaux ! »
Écrit par All-trinity
Por mi raza hablará el espíritu
Catégorie : Divers
Publié le 27/07/2008
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Commentaires
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Posté le 27/07/2008 à 22:43:05
J'aime ! bienvenue sur icetea ! | |
Alexandre-glaucos |