J'ironise la fin
...
d'un ton.
sous le drap du temps,
gronde la terre,
sonne la mélodie
de l'amendement.

Je suis la chute,
d'un empire,
de goutte en goutte
se dressent les flots,
sous les racines du monde
s'écrasent vos idéaux
...
Je m'esclaffe,
glousse,
sous la bêtise,
ode à la médiocrité,
la richesse, vouée
aux cultes des indécents.
...
j'arbore l'insignifiant,
par le souffle du vent,
jusqu'au dernier
grain de sable,
j'enlace le néant,
s'effacent les incapables.
...
aux rênes de la nature
s'avance l'ombre aux bras béants,
je façonne l'immature
...
sous un nouveau jour
renaît l'inconscient
...