Tes mots qui se bousculent et se heurtent à moi
Dans ce délire savant connu que de toi seul
Où s'invitent les ombres, des petits bouts de soi
Me vacillent parfois comme un poing sur la gueule
Que la page soit blanche et les secrets éteints
A la minute même où tu y penseras
Ce sera moi et mon silence que tu étreins
Et mes regrets fruités qui n'en finiront pas
Je n'ai de ta couleur que l'orange glacé
En cherchant cette main que je te croyais tendre
Quand dans mes mots savants, tes pleurs épanchés
Je voyais l'amitié ,oh douce, à s'y méprendre
En relisant le livre où fleurissent les maux
Que je t'avais volé,pour ne pas qu'ils t'écorchent
Je sais qu'il ne faut plus alléger de fardeau
Puisqu'à t'aimer , ami, mon âme s'effiloche
12 août 2009
Écrit par ArchePerdue
«Si vous fermez la porte à toutes les erreurs, la vérité restera dehors.»
[ Rabindranàth Tagore ] Catégorie : Amitié
Publié le 13/08/2009
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Commentaires
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Posté le 18/12/2009 à 13:18:34
Je remonte celui-ci... Bises AP |
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