Nous sommes quatorze ans après la fin du monde.
Il y a quelque chose de grenat dans l'air du temps.
Une musique essoufflée : l'ambré d'une journée blonde,
Et le vent qui s'est éteint, sous mon foulard de gitan.
On pense que la fin du monde c'est quelque chose de triste.
On pense que c'est du sable sur un fond gris : plaine de schiste.
Mais non, c'est beau.
-Il y a une fleur au bec du dernier des loriots.
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Divers
Publié le 14/01/2015
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