La funeste rivière est noueuse sous la ville haute de mes pères,
Celle qui s'épuise dans la faille immortelle des mers d'il y'a mille ans.
Mes hommes sans peur; ceux qui ont retournés tout jusqu'à la Terre,
Qui marchèrent sur les eaux comme toutes ces histoires d'enfants.
Ceux-là qui ont laissés ces femmes de coeur : que nous revient Prométhée.
Mes pères s'endormirent ici, -en jeunesse- sous les érables fanants d'un autre été.
Dans la tempête elle est belle,
Dans l'orage je suis beau,
Et le vin chaud,
Et le ciel.
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Divers
Publié le 09/06/2016
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Commentaires
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Posté le 09/06/2016 à 19:01:01
J'aime beaucoup, surtout le final. Merci | |
schweepouille-deleted |
Posté le 10/06/2016 à 02:06:59
J'aime ces longues laisses. | |
jacou |
Posté le 19/06/2016 à 02:14:13
Merci à vous deux ! | |
Biron |