Sans toi, perforé par la rosée du soir sous deux milliards d'étoiles,
C'est de la marée, là, dont je vais m'ennuyer,
Celle dont l'étale me rappelle les rochers de l'Oural.
La forêt noire qui tombe dans l'absolu des vallées,
Et l'immense marbre; la blessure profonde d'un glacier.
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Triste
Publié le 17/08/2015
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