En mer, les corsaires et les bateaux s'éventraient
Frappé d'une vague; comme les eaux me lacéraient,
Ô, quand mon bon capitaine tomba à la mer !
Je sautai l'y rejoindre, mon maître, mon père,
Je n'en voudrai à personne, bien sûr de continuer.
Mais moi, ma guerre, ma si belle guerre est terminée !
Écrit par Biron
\'\'La poésie est une maladie du cerveau\'\'
Catégorie : Triste
Publié le 10/09/2012
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