Elle marche de nuage en nuage,
Le cœur léger, le pas gracieux,
La princesse des Cieux
A qui est dédié cet hommage
Et dont un pauvre et vaniteux poète
Ose s'éprendre à en perdre la tête.
Du matin au soir elle traverse le ciel,
Sa robe d'azur nimbé de blanc
Forme de majestueuses volutes en courant,
Et quand elle chevauche le céleste carrousel
Son rire est la brise,
Son souffle est la bise.
Mais lors de ses tristes jours,
Elle revêt alors son manteau gris
Le cœur gros, le pas lourd et aigri,
Pleure alors à grosses larmes sur nos labours.
Pleure, ma douce, ton chagrin fait pousser
En moi de tendres idées.
Et quand à nouveau la joie l'emplie,
Alors je me prends à rêver, fourbe,
Que je sillonne ses nobles courbes.
Et alors pour un instant, à elle je m'unis,
Car la belle se laisse approcher
Et m'offre un peu de sa vertu et de sa pureté.
Écrit par Bragi
Liberté est une insoumise que beaucoup d'hommes courtisent, mais bien peu embrassent
Catégorie : Amitié
Publié le 05/08/2009
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C'est un hommage qui a le mérite de tirer de sa simplicité une force touchante... Joli |
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LolaLilla |
Très joli texte. Amicalement. |
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Rudy |
trés beau! amitié! |
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MARIE L. |
Un trés beau poème... en l'honneur d'une poétesse qui a su faire vibrer ton coeur... amitiés et belle soirée à toi | |
Melodie21 |
Bah... ... Merci. |
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Bragi |