Jeune demoiselle qui me fascine,
Sache que je pense à toi. Ma racine,
Tu es. Loin de moi, mon cœur se dessèche,
Petit à petit. Avec toi, je prêche
L'importance de l'amour dans la vie.
C'est par lui, donc par toi, que je survie.
J'ai la certitude de tout connaître
De toi. Oui, mais pourtant, tu es un être,
Qui reste encore mystérieux, parfois.
Cette absence de présence de toi,
Près de moi, me transforme en un malade,
Plus qu'imaginaire. Je me ballade,
Sans toi, sur nos très protégés chemins
Romantiques. Quand je te tiens la main,
C'est mon corps entier qui vibre avec force.
Je suis comme un arbre sans son écorce,
Quand nous sommes éloignés, tous les deux.
J'apprécie tout chez toi, tes mains, tes yeux,
Ta bouche, tes jambes, tes belles formes,
Voilà pourquoi je t'ai choisi. Je forme,
A tes côtés, l'apogée du bonheur,
Qui se manifeste avec la ferveur
Des beaux jours, chassant les cieux assombris.
Tu es toute ma vie, mon égérie.
Je pleure, je souffre de ton absence,
C'est par ce manque, que je prends conscience,
De l'intensité de mes sentiments,
Que depuis un certain temps je ressens,
A ton égard. Tu es donc mon messie.
Avec toi, je n'ai plus aucuns soucis,
Je vois donc, à présent, la vie en rose.
Et, ton corps parfumé, à l'eau de rose,
Me fais agréablement chavirer.
Tu es mon sang, ma sève sans douter.
Bientôt, je t'attraperai dans mes bras,
Et nous marquerons, d'un très ferme pas,
La suite d'un amour hors du commun,
Entre toi et moi et s'aimant sans fin.
(Extrait de "Journal intime")