Un texte au titre imposé.
Mes rimes apposées sur l'enfer des humains,
Matérialisé en crescendo puant
Expurgeant leur noirceur en autant de destins
Dévoués à l'oubli, scandalisent en chantant
Encore à l'unisson de ce Beau souverain
De ce vrai éclatant, s'objectivant colère
En suspens dans le sang rougeoyant des humains
Sacrifiés en masse à l'autel où s'espère
Le lendemain meilleur, atone d'appeler
En le chœur du présent aux rondes en furie
Bûcher des espérances, source du brasier
Où s'enchaînent des maux hurlant en poésie.
Mes rimes déchaînées, scandalisées soudain
Par le faux en les vies des humains oublieux
De notre liberté d'écrire nos demains
Et préférant souffrir sous le joug d'un odieux
Concentré de folie siégeant en le cœur
De notre propre esprit, nous enchaînant nous-mêmes,
Mes vers en la magie se riant de vos peurs,
Sont fortississimo au gré des anathèmes.
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