Le temps édit la fortune.
Bien heureux celui qui la connaît
Comptant le moindre sou, la moindre importune.
Au fond du tiroir qui ne dort jamais.
Le fou est un roi maladif.
Adulant la réalité adroite.
D'un malade se feintant inoffensif.
Pour jouir de la malice veinât.
La main tremblante, sur le seuil.
Du vice et de la solitude.
Peint sur les murs en deuil.
L'odeur d'une coutume.
Bien heureux celui qui connaît sa fortune.
Bien chanceux celui qui ne peut compter.
Écrit par Divinity
Omnis creatura subjecta es vanitati. Es liberabitur.
Catégorie : Divers
Publié le 29/01/2013
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Commentaires
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Posté le 30/01/2013 à 08:54:16
drôle et charmant ; heureuse de te retrouver,,, | |
flipote |