Qui n'a perçu Ton absence.
Ni verra qu'un vide Béant.
L'horloge chante Qu'elle brise ou hante
Sempiternelle, douleur intense.
Du tout
Qui n'a connu, le temps qui ment.
Qui n'a voulu, rester enfant.
Plus de chagrin, du tout, ni joie ni rêve, s'en vont.
Voile de ténèbres, j'étouffe d'une peine.
Un empierrement
Si j'avais au moins, partagé ton amour.
Retrouvé les moindres détours.
Mais c'est à ceux Qui mentent
Qu'on offre « son cœur » Dont ils se plaignent
Sans chercher « savoir » la gloire Et toi pourquoi tu saignes
Quand tu brises « mon cœur » ? Pourquoi plus rien n'existe….de bonheur ?
Toutes les joies Les plus fébriles
Fuient l'émoi, le plus fragile.
De tous les hommes Les plus aimés
De moi l'étrange singulier Mariée à un amant.
Si j'avais au moins, partagé ton amour.
Retrouvé les moindres détours.
Mais c'est à ceux Qui mentent
Que l'on offre « son cœur » Dont ils se plaignent
Sans chercher « savoir » la gloire Et toi pourquoi tu saignes
Quand tu brises « mon cœur » ? Pourquoi plus rien n'existe….de bonheur ?
Si j'avais au moins, partagé ton amour.
Retrouvé les moindres détours.
Mais c'est à ceux Qui mentent
Que l'on offre « son cœur » Dont ils se plaignent
Sans chercher « savoir » la gloire Et toi pourquoi tu saignes
Quand tu brises « mon cœur » ? Pourquoi plus rien n'existe….de bonheur ?
Écrit par Divinity
Omnis creatura subjecta es vanitati. Es liberabitur.
Catégorie : Triste
Publié le 25/02/2013
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L'absence du vrai amour , la confiance trahie sont une tristesse languissante JE partage ta souffrance |
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coeur.de.saphir |
l'idéal n'existe que dans les rêves, quand l'égo se prononce, l'amour le vrai se tait, heureusement qu'il y a ces vers qui décorent la vie du poète...merci pour le partage Divinity... | |
zeste |
Sans rentrer dans le fond qui est personnel, j'apprécie ton texte et suis surpris par l'utilisation de majuscules qui relancent le texte, Amitiés, Hysard |
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hysard |