Quand je voudrai te voir
je ne dirai rien
je ne ferai rien
j'écouterai mon esprit se souvenir
assis sur le banc
pres de la niche
Tu ne m'emmèneras plus
sur la petite route
guidant mes pas sur les tiens
tous deux heureux d'être enfin libre
J'ai demandé à monsieur Francis JAMMES
de t'emporter au paradis avec son âne
Quand tu es parti
( c'était un vendredi)
je n'ai pas osé pleuré
pourtant je t'aimais
comme un chien aime son maître
Quelque part dans ma tête
j'ai gardé ton collier
un jour
on retournera se promener
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Commentaires
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Posté le 26/11/2014 à 12:57:37
Très beau, ça me rappelle ma relation avec mon premier Carlin. | |
Intruder |
Posté le 26/11/2014 à 14:55:12
Texte très touchant et plein de délicatesse | |
Laubier |
Posté le 28/11/2014 à 09:56:01
Merci á vous amis, amie des mots .. Et des bêtes | |
Errant |
Posté le 10/12/2014 à 21:00:36
je comprend ce chagrin, moi même, j'ai connu cette douleur ce n'est pas facile à vivre dans ce monde ou tout est superficiel; Alors que notre chien lui jamais ne nous a déçu! Bravo et merci! | |
CRIS |
Posté le 18/12/2014 à 08:41:58
Beau poème d'amour tout en retenue. | |
Moi80 |
Commentaires
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