L'abator d'une pensée frivole....
Engendré par son antipode; Le jour
Qu'es-tu sans tes étoiles et leurs farandoles ?
Il n'y à là, personne pour ébruiter un "Bonjour"
Sombres sont tes desseins
Car de la lumière tu ne connais rien
Personne ne te pleure, ni ne te plains
Toi et tes souvenirs antédiluviens
Pars loin d'ici, même si tu ne le peux...
Je l'espère de tout mon cœur
Qu'il viendra un temps d'adieu
Ou je pourrai enfin te dire, sans rancœur :
"Tu es vide et obscur
Dans ton ciel d'aucun espoir
Quelques aurores et argentures
Parcours ton être, à la recherche de quelques "Bonsoirs" "
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