Je m'endors sur le rebord de la falaise
Incliné légèrement, à mon aise
Le néant en guise d'hamac
J'y dépose tout mon traque
Dans ce vide noir ébène
Quelques phosphènes
Y trompent mes bourgeons
Et s'y déposent en flocons
A ma vue, un être saugrenue
Se créant lui même du sombre infini
Commence a se mettre à nue
Cette singularité indéfini,
Me donne espoir dans la nuit
Tel le feulement du tigre
M'extirpe d'une simple apathie
Mon cœur alors allègre
Te promet une singulière chose
D'être à tes côtés pour l'éternité
De prendre soin de cette biocénose...
De cette chose, appelé Humanité....
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Commentaires
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Posté le 26/05/2016 à 02:34:16
C'est un bon poème qui ouvre la réflexion. Est-ce un dieu qui s'exprime ? | |
jacou |
Posté le 26/05/2016 à 09:01:58
J'aime beaucoup le second vers, avec le mot "phosphène" et les bourgeons. Comme le dit Jacou, cela nous fait réfléchir mais était-ce le but ? :) | |
schweepouille-deleted |