Parce qu'au beau milieu d'une journée fanée
Tu te diras que ce monde laissé d'avant
Ne te réapparaît que parfois, mécontent,
T'illumineras nos visages oubliés,
Peut-être, un jour, tu nous reviendras, un soir,
Simple passage furtif, qui ne se voit pas
L'important futile, et s'effacera
De ce triste regard éloigné. Ta mémoire
Imprimée dans ces souvenirs tout abimés
Prie, agenouillée devant ce monde infini,
Cherche une dernière chance et encore sourit
En se rappelant la parole évaporée
Qui est inutile, à toi, qui à nouveau
N'écouteras jamais nos tristes "au revoir",
Riras de nos regards voilés et tout de noirs,
Pour nous éclairer d'un magnifique "à bientôt".
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Commentaires
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Posté le 25/06/2014 à 07:51:27
une écriture un peu complexe pour moi ...mais au demeurant intéressante . | |
Abdel |