Ce sont deux notes perdues,
Quand soudain doute le son,
De mélodie éperdues,
Ignorant toute leçon,
Deux fragments de triolet,
Doux comme une trille au lait.
La terrible cruauté,
Pour lui qui a cru au té,
Quand ses maîtres le renvoient,
Alors qu'au demeurant voient
Ses travaux si nécessaires,
Que pour jardiner ses serres.
Écrit par Florent
La beauté de la vie réside dans le sens que l'on veut lui donner.
Catégorie : Divers
Publié le 30/05/2014
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Commentaires
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Posté le 30/05/2014 à 19:13:07
fabuleux, merveille de petit poème pour le plus grand plaisir de l'ouïe, en dire le contraire serait "crue elle" ;-) merci très cher Florent bien à vous zeste |
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zeste |
Posté le 30/05/2014 à 23:15:02
Bravo, très cher Florent, pour l'exercice de style avec des rimes très riches qui nécessitent une grande maîtrise pour rendre aux sons tout leur sens. Cordialement. |
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jacou |
Posté le 31/05/2014 à 09:44:14
J'aime ce genre d'exercice de style. Bravo Florent. | |
Balder |
Posté le 31/05/2014 à 10:22:38
Merci beaucoup très chers zeste, jacou et Balder pour vos commentaires chaleureux sur cet exercice de style. Ey bravo zeste pour ce jeu de mots :) Si vous aimez ce genre d'exercice de style, voilà deux liens vers des œuvres dont ma modeste tentative n'approche en rien la perfection : http://unproductivepoetry.wordpress.com/2010/06/07/clement-marot-petite-epitre-au-roi-1518/ http://www.toutelapoesie.com/salons/topic/59840-epitre-a-la-voix-pour-florentm/ Bien à vous. Florent |
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Florent |