La nuit, je m'éveille.
Je te cherche, ne te trouve pas,
Me lève, enfile quelque chose,
Descends l'escalier et parcours la maison,
Te trouve enfin, allongé et paisible.
Je m'approche, te caresse, tu sembles si froid,
Affolée je cherche ton pouls, rien.
Alors je m'affole, crie, hurle, pleure.
Sursaut, je me redresse, tu es là.
Tout cela était donc faux.
Tu me couves du regard,
Tu as senti mon trouble
Et cela t'a réveillé.
Tu me rassures et me consoles.
Je me rendors, sereine,
Repartant pour le pays des songes.
Écrit par Illusion.empoisonnee
je n'ai pas de nom puisque je ne suis qu'illusion
je tiens à préciser que je ne pense pas tout ce que j'écris, à vous de déceler le vrai du faux Catégorie : Triste
Publié le 13/01/2010
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Commentaires
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Posté le 13/01/2010 à 11:37:02
très beau poème ! mais si seulement tu pouvais rêver à la place de cauchemarder, de rêver que ton amour soit là et que tes journées soit ensoleiller et que tu sens son poul car il te sert très fort dans tes bras, amicalement | |
aimelespoemes |
Posté le 13/01/2010 à 22:30:07
Je viendrai sur ton épaule te soutenir ! | |
corbeau |
Posté le 14/01/2010 à 22:27:53
merci | |
Illusion.empoisonnee |