Je serais émissaire nocturne
Me ferais chancelier diurne
A chacun de tes plaisirs
Ne répondra que mon désir
Pour chacun de nos soupirs
Nous n'aurons qu'à gémir
J'irais ma douce quand la nuit sera vieille
Attendre en silence l'aube de ton éveil.
Un bouquet à la main , le regard fiévreux
Assis à tes cotés caressant tes cheveux
Le sourire aux lèvres et le cœur heureux:
J'attendrais, ma belle, le bonheur d'être deux.
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Écrit par Iraenocte
Les chiens ont des puces, les Hommes des emmerdes. C. Bukowski
Catégorie : Amour
Publié le 28/01/2011
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Commentaires
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Posté le 28/01/2011 à 17:32:25
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Très joli texte (et titre) |
Wild  |
Posté le 28/01/2011 à 18:06:36
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Ouiii, joliii, mais il n'y a ni "purée", ni "économie" :p |
Nighty  |
Posté le 28/01/2011 à 19:57:17
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Très beau ! amitiés Louann |
louann  |
Posté le 28/01/2011 à 19:58:46
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C'est chou ! Plein de tendresse et de pureté ! |
| Orpheus |
Posté le 28/01/2011 à 22:49:42
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Fraicheur des mots. La vie serait belle avec des attentions si douces. Margot de Brocéliande |
| Margot de Broceliande |
Posté le 29/01/2011 à 10:59:53
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Très doux et leger, comme des mots portés par le vent à la bien aimée.. |
| lo |
Posté le 29/01/2011 à 19:15:57
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Merci à tous. Quand à la bien aimée, elle attend sans doute dans une lointaine contrée. |
| Iraenocte |
Posté le 30/01/2011 à 01:35:34
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Ah oui ^^ je connais bien aussi cette "lointaine contrée" dans mes écrits ;) ^^ |
| lo |
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