J'ai laissé sur le sable une larme en trophée
Sous mes yeux esseulés son sourire s'est fané
J'aurais brisé mon esprit pour entendre son rire
Quand mon cœur solitaire ne faisait que souffrir
La médiocrité ne s'embarrasse pas de confiance
Ma colère ravalée comme l'amer d'une absence
Je n'étais que néant rêvant de violence
Menant l'accusateur à sa juste sentence
Je ne saurais te dire ce que mes mots écorchent
Je ne saurais mourir sans un mot sous le porche
Les secrets de mon âme demeurent silencieux
je ne pardonnerais pas, cet immondice mielleux.
Écrit par Iraenocte
Les chiens ont des puces, les Hommes des emmerdes. C. Bukowski
Catégorie : Divers
Publié le 12/04/2015
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Commentaires
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Posté le 14/04/2015 à 07:11:33
Le doute s'installe à la lecture de ce poème. Qu'est-ce qui crée tant de haine? et "immondice mielleux" plutôt curieux. | |
TANGO |
Posté le 15/04/2015 à 16:43:43
Bonjour et merci de vos lectures. "immondices mielleux" pour quelqquelqu'un de faux s'adapte très bien je trouve. Pour le titre j'ai supposé la citation suffisamment commune. Je vous rejoins pour la faute et en suis désolé. |
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Iraenocte |
Posté le 15/04/2015 à 23:12:20
Beaucoup de tristesse et de colère dans ce poème écrit comme on lance un cri sourd. C'est poignant de cruauté... | |
coolwater |