Des tours d'albâtre abattues piaffent joyeux,
Aux lueurs carminées d'un firmament pourfendu ,
Les rires et joies fleuris d'Amours perdus
Les espoirs et les rêves à jamais silencieux
Il reste, dressé, froid, solitaire :
Un autel par la ruine épargnée.
Je vais souvent visiter ce sanctuaire
M'étendre sur son duvet de pierre
À même le marbre, respirant la poussière
Comptant le temps et les chimères.
Brisant, un court instant, le fil de mes pensées.
Une brise légère, souvent, se met à souffler
Charriant les embruns d'une mer inexplorée
Sa douce chaleur baignant mes chairs.
Enfin, je souris aux femmes, et à leur lumière
Écrit par Iraenocte
Les chiens ont des puces, les Hommes des emmerdes. C. Bukowski
Catégorie : Divers
Publié le 14/12/2012
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Commentaires
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Posté le 15/12/2012 à 16:07:11
un conseil ..n'écris plus sur ce site..ta poésie est au-dessus de ce site de nuls moi y compris..salut! Hombrè! | |
amnous |
Posté le 17/12/2012 à 00:28:45
Merci du compliment, il est très agréable d'avoir un jugement plus que positif de la part de ses pairs. Il existe pourtant sur ce site des auteurs de très grande qualité que j'aime à lire régulièrement. Mon conseil en retour, prenez plaisir à me lire si mon style vous plait Amicalement. |
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Iraenocte |