Rêveur du pays d'en haut
Je profite encore de surfer
Sur la dernière vague
Il y avait un monde
Et en voici un autre
Je détournerai l'obscure parabole
Pour apercevoir la nature
Pâle et déclinante
Pour ne pas oublier
Avant de vous quitter
Mon horizon a disparu
L'autre a fini par l'effacer
Je vivrai désormais
Sur ma terre maternelle
La poésie
Écrit par James Px
« Une poésie n'est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. » Textes sous Copyright numéro 00048772-1 - jamesetmots.blogspot.com
Catégorie : Divers
Publié le 03/10/2016
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Commentaires
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Posté le 03/10/2016 à 21:31:46
J'aime beaucoup la dernière strophe. Merci à vous pour ce joli poème. Driss |
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khaledpo |
Posté le 03/10/2016 à 22:41:38
Heureusement qu'il y a d'autres façons de surfer, sur la neige ou sur la toile, et merci James Px de nous rester fidèle en inondant nos instants de tes rafraîchissants poèmes. | |
coolwater |
Posté le 03/10/2016 à 23:19:35
Belle confidence ! La poésie est bien une terre maternelle, nourrissante ! | |
jacou |
Posté le 05/10/2016 à 18:55:17
quelques petits coups d'ailes simplement pour aller et revenir ... | |
MARIE L. |
Posté le 09/10/2016 à 13:11:57
Khaledpo... Oui merci. | |
James Px |
Posté le 09/10/2016 à 13:13:20
coolwater... Tout est occasion pour surfer écrire vivre dans le sens des aiguilles d'une montre moi tout... | |
James Px |
Posté le 09/10/2016 à 13:15:46
Jacou... Beaucoup de choses sont maternelles... Mais lesquelles... Chacun de nous cherche. | |
James Px |
Posté le 09/10/2016 à 13:17:32
MARIE L. ... Aller retour en évitant les sens interdits... Quoique un peu d'adrénaline... N'est-ce pas l'essence du poète. | |
James Px |
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