De kingman à Seligman
Quelques vestiges
Ressemblent aux pièces du puzzle
De la fameuse transcontinentale
Entre vieilleries poussiéreuses
Et souvenirs importés d'asie
J'achète un magnet 66
Pour le Frigidaire
Et traverse l'air
De trois clichés de carcasses
Qui ne demandent qu'à mourir en paix
Cloué à l'asphalte
J'essaie de maintenir la légende
Ce n'étaient que des mots écrits sur du sable
Une belle histoire
Écrit par James Px
« Une poésie n'est-elle pas le seul endroit au monde où deux âmes étrangères peuvent se croiser intimement. » Textes sous Copyright numéro 00048772-1 - jamesetmots.blogspot.com
Catégorie : Divers
Publié le 26/08/2017
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Commentaires
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Posté le 26/08/2017 à 08:42:00
J'aime ce texte original et inventif | |
Zigzag |
Posté le 26/08/2017 à 09:40:51
tu es en vadrouille ? ah oui je vois ta statue qui fait du stop vers Bagdad café moi je ne bouge pas j'attends tu sais |
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marinette |
Posté le 26/08/2017 à 10:46:51
Une belle photo avec tout ce qu'il faut pour que l'on puisse la situer. La fameuse 66 road et le désert! Joli texte. | |
eliosir |
Posté le 02/09/2017 à 14:00:21
Zigzag... humm la ligne droite est souvent prioritaire | |
James Px |
Posté le 02/09/2017 à 14:01:13
Marinette... la grande vadrouille un café sinon rien un courant d'air un peu de sable dans l'air un bol d'air | |
James Px |
Posté le 02/09/2017 à 14:01:42
eliosir... situation incontournable | |
James Px |
Posté le 06/09/2017 à 16:07:18
L’homme-libellule Celui qui vole en rayonnant Sur les rus ruisselants Dans l’ombre frissonnante Des roselières en fleur Celui qui dit je t’aime Derrière la barrière De sa main cachottière Avec un petit rire Maladroit Celui qui sous-entend La musique pianante D’une danseuse nue Sur un parquet flottant Celui qui dit ma mie Qui peint avec ses lèvres Des visages d’enfants Et des voiles de vierges Mon homme-libellule Doré dans le couchant Comme un cheval nimbé Au sommet du grand champ Qui jette son licou Et pleure lentement. Marine 2 octobre 2014 Pour toi james |
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marinette |
Posté le 06/09/2017 à 20:59:57
marinette... | |
James Px |
Commentaires
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