Je vis un pluriel au singulier
Un arc-en-ciel monochromé
Où je broie du noir
Sans l'espoir de te revoir
Dans le silence de la cohorte
Au loin le vent t'emporte
Comme une étoile sans lueur
Une toile sans mille couleurs
À travers les poussières
Ne restent que les prières
Celles d'un Roméo manipulé
Par une Juliette névrosée
Bien des années ont passé
Le sort nous a permis de se croiser
Au bord de ce trottoir de nuit
Fréquenté par la luxure et l'envie
Te voilà tombé bien bas
Toi l'amour de mes tracas
Et dans un ultime geste
Te sort de ce milieu indigeste
Je ne cherchais pas à reconquérir
Le cœur de mes sombres martyrs
Juste aider celle qui fut
L'ardente flamme de ma cohue
Écrit par Joaquim
Je ne sais qu'une chose tu tiens
Ma joie, ma peine entre tes mains Catégorie : Amour
Publié le 03/02/2013
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Commentaires
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Posté le 03/02/2013 à 12:04:09
tu as des dons certains, et aussi de curieuses maladresses, que signifie cohue dans le contexte du dernier vers ? on jurerait que tu ne l'emploies que pour rimer, ceci dit sans méchanceté, car tu as des dons de poète réels, à bientôt | |
flipote |