Le ciel pleureur et les nuages tristes
Noircissent mon teint brumeux et pluvieux.
Les gouttes moites et le grain malicieux
Contrarient mes mains humides et m'attristent.
Où sont passés ces rayons idylliques ?
Cette morosité m'anéantit.
Rien ne peut me ramener à la vie
Mis à part cette chaleur frénétique.
La pluie disparue, la vie revenue,
Je foulerais l'herbe de mes pieds nus
Et rêverais d'un monde sans tristesse.
Je redécouvrirais ces plaisirs oubliés
Ne craignant que ma grande maladresse
Et le retour de la saison damnée.
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Écrit par Joshua
Quand tu manges un gâteau rond, commences tu par le milieu ?
Catégorie : Divers
Publié le 15/02/2011
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Commentaires
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Posté le 15/02/2011 à 20:55:27
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Beau poème. |
pichounne  |
Posté le 16/02/2011 à 06:24:56
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Cette morose saison qui n'en finit pas de partir...Vive le printemps, le soleil, et ses doux rayons pour donner un air de fête ! Patience, on y presque ! amicalement Louann |
louann  |