Le papier s'adoucit sous ma plume symphonique,
De l'eau salée s'écoule sur mes joues.
L'encre sèche et s'immortalise,
Se dandine jusqu'à en devenir fou.
Je songe à demain dans un élan
De crainte, gagnant mes certitudes.
Souffrir de mon âme reste une habitude
Quand de mes jours, je trace le bilan.
Je me souviens de ces cantines,
Qui apaisait mon enfance.
De sa contribution devenue lutine,
Survivent ma peine et ma souffrance.
Alors, je crois même à l'utopique,
Et ma vie est teintée de souvenirs.
A l'image d'une rose, tu piques,
Mais ta fonction première reste de m'éblouir.
Y-a-t-il une mesure de la douleur
Quand un Homme perd ses vérités ?
Que même un miracle le ferait douter
De ses acquis et de son intégrité.
Dans un avenir proche, je t'aimerai,
Dans un avenir lointain, je te haïrai.
Les affres de ce que je deviendrai sans toi,
Fortifient sensiblement mes faiblesses et mes émois.
Écrit par Kama
Je ne renais qu\'à fois que je copuleavec la poésie.
Catégorie : Amour
Publié le 01/06/2012
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