Apparut la chaire de coq,
Cette rancune à notre noble époque.
Des tenants et des aboutissants,
Je pris peur, dans un refuge absurde.
Dans ma peinture à la morale monstrueuse,
Je m'étale comme la feuille morte
Sur un sol où la chute est périlleuse,
Suicidaire quand il pleut des cordes.
Ma patrie me rend meurtri
Depuis, pupille de la nation.
Même le sang versé est inutile,
Je suis l'apanage de la lésion.
Laissons les cons être heureux,
Qu'ils fassent, crédules, la liaison,
Entre délinquance et immigration.
Laissons les être cons entre eux.
Ma double culture comme ciment,
Mes amitiés renforcent mes convictions.
Coloniser le monde sans sentiment
Retour de flamme depuis l'éviction.
Belle France,
Terre de semence, de civilisation.
Ère chaotique, triste nation, sincère souffrance,
La dernière phrase est un pléonasme de compétition.
Écrit par Kama
Je ne renais qu\'à fois que je copuleavec la poésie.
Catégorie : Divers
Publié le 26/05/2012
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