C'est la fin des amours, maintenant c'est mon tour.
Pourquoi moi ? Pourquoi aujourd'hui ? Et puis, que faire ?
Où sont-ils ? Qui me guide en ce lieu parfait ?
Entre ombre et lumière, cent nuits et cent jours.
Autant de questions, mais dans autant de temps.
Seul avec ce corps invisible, j'y suis pas.
Au début à l'écoute des larmes d'en bas.
Désormais l'écoute des larmes du dedans.
Je rêve que cela s'arrête, pitié.
Je n'en peux plus, il faut choisir ou m'éteindre.
Il n'y a que la raison sans goût, sacrifié
Dans l'attente apeuré par la couleur des limbes.
C'est ça, je, j'y suis déjà, ce n'est plus la peine.
Arrête, je t'ai dit d'arrêter ! Tu m'entends,
BOUCLE Làaa !( , ). Même un tel vide fut vain.
Dans le temps je n'étais pas aussi méchant.
Écrit par Kasba
Age quod agis,Celui qui cache son secret est maître de sa route.
Catégorie : Divers
Publié le 07/07/2013
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Commentaires
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Posté le 07/07/2013 à 13:33:39
Kasba, De ce très beau texte où je n'ai pas tout compris, seulement une impression de douleur, mais c'est sans importance, je retiendrai cette phrase qui m'est plus parlante "Désormais j'écoute des larmes du dedans". |
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Octavie |
Posté le 07/07/2013 à 14:05:48
Grande souffrance malheureusement bien décrite. "Je rêve que cela s'arrête, pitié..." Si ce poème est inspiré de ton véritable ressenti, je te souhaite bon courage, des jours meilleurs finissent toujours par arriver, il faut tenir le coup en attendant... | |
Marouette |
Posté le 07/07/2013 à 16:40:24
Bonjour, Merci pour vos commentaire sur le style. Ce ne n'est pas personnel, mais une simple réflexion sur l'au delà. Amitié. |
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Kasba |