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La voûte astrale, d'étoiles resplendissantes,
Illumine de mille éclats mes rêveries,
Il me semble même qu'elles me sourient,
Et dans la nuit à la face de la lune, elles chantent.
Guetteurs éveillés d'un horizon inconnu,
Elles sont les gardiennes des siècles perdus,
De la naissance à la destruction, elles assistent.
Au côté de l'astre Lune à la fin elles subsistent.
Doux reflet miroitant à la surface de l'eau,
A chaque être elle offre sa délicate lumière,
Expose ses idées de grandeur à la Terre.
A nos pieds elle éclaire le chemin des dévots.
Délicieusement silencieux le ciel nous domine,
Là haut, rivant un regard sur nous souvent voilé.
Les Dieux derrière lui peut être ensemble dînes ;
Le paradis pourrait-il réellement s'y cacher ?
Un éclairci ce forme, serait-ce l'aurore ?
Tranquillement l'Aube aux diaprures rougeoyantes
S'installe, s'élevant couvrant l'horizon d'or,
De cette couleur qui semble si lénifiante.
Le Soleil dessine avec lenteur une toile,
Séduisant avec délices l'humble amateur,
Une peinture où nous sommes tous spectateurs,
Avant qu'à lui ne se subtilise la nuit d'un voile.
Peu s'en faut d'un regard de croire à ses chimères,
Et dissiper les effets accablant des ténèbres.
Peu s'en faut de quelques larmes d'un être cher,
Pour que dans ses chatoiements de douceur l'ont se perdent.
Écrit par Lanfear
Les vraies larmes ne sont pas celles qui coulent des yeux et ruissellent sur le visage, mais celles qui tombent du coeur et restent dans l'âme.
Catégorie : Divers
Publié le 17/08/2007
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