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J'observe l'homme au loin qui boite,
Mais dont le pas n'est que feutrine,
Sur les trottoirs gras qui s'emboitent.
Et sa cheville qui est moite,
Le fait sembler aux ballerines
Écrit par Le Laurier d'or
Sentiers battus, vent, bruine... La couronne tombe.
Catégorie : Divers
Publié le 06/01/2008
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