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Au bout du monde,
On cherche quand même.
Au bout du monde compte l'abstrait,
Car à ceci, valeur aux hommes,
Qui lorgnent alors trésor des autres,
Qu'ils soient physiques, esprits ou encore,
Qu'ils soient alors simples mots...
L'homme se bat, pour ce qu'il n'a pas,
Il est trop bête pour satisfaire,
Sa nature de ce qu'il a,
Repoussant toujours ses frontières...
L'homme est très bon dans un domaine,
Pour détruire il est le Roi,
Armes en tout genre, fric ou bien Herbe,
En somme tout ce que prix a...
Homme boulémique, moi je te plains,
D'être autant superficiel,
Ne t'en fais pas, et puis dors bien,
Je ne voudrais réveiller
Conscience entière...
Reposes-toi donc sur ce trône,
Celui du pseudo-Roi des espèces,
Mais Homme, tu en fais toujours trop,
Et trop glissante devient ta chaise...
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 02/07/2008
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J'aime bien, juste un comment'...pour dire... no comment'... | |
Némésis |
cela me plait beaucoup... j'aime ta fronde troubadour^^ amicalement Maxym |
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P'tit Max |
Oui et un jour il y tombera de sa chaise... Très beau texte TroubaD ! |
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lo |
excellent ! je partage tes idées. | |
belledeschamps |
Il me fait faire mon autocritique ton poème moi l'éternelle insatisfaite | |
lolypop |