Des pensées de coton que l'on laisse en mouchoir,
Qui s'échappent de nos tombes, qui s'échappent sans gloire...
Des pensées que l'on panse, que l'on vit que l'on tremble,
Des pensées trop transcrites, presque redondantes...
Et puis les notes que l'on laisse, et les grands esprits,
Qui veulent faire contraire,
Faire semblant de ne pas comprendre le manuscrit...
Je ne suis pas ici, pour la gloire de l'offense,
Je ne suis pas ici, pour faire voir quelque chose,
Mais je suis ici, car je n'ai d'innocence,
Pas plus que je renie mes tombes...
Et encore, mais encore,
On se retrouve en face, à travers ces mots,
Que je laisses, ainsi frêles ou mourants sur ma table,
Quand les chevrons se décomposent...
Quand j'y laisse un bout de mon Ame
Comment dire... Désabusé, me semble juste,
Mais ce n'est qu'un mot rien de plus...
Je veux réfléchir, là ou les gens ne peuvent pas,
Car les pensées s'enveniment si contradictoires...
Quand je vois réflexion, tu y vois des larmes,
Parce que tu ne veux plus voire
Alors j'écris, je décris, je relis, je transmet....
Puis je détruit, je construit, j'illumine....
Mes pensées pour un rêve....
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Amitié
Publié le 29/07/2008
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