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Bienvenue au marché, il faut déclasser,
Car les hommes sont rudes, et leurs egos mentent,
Pour travestir, et plaire à la beauté,
A un certain statut, une caste élégante.
Marché du journal, dans les magazines,
Entre les prospectus pour de nouveaux miroirs,
Les torses des hommes, doux, ou virils,
Retouchés, maquillés, et avec accessoires.
Marché de l'emplette, on s'amuse, on nous ment,
Car au fond de nos cœurs, nous sommes objets,
Pour certains, jeu de Dames, et pour d'autres, enfants,
Prise unique pour un soir, aller-retour pour le ciel.
Au creux de ces corps, ou dans les limousines,
A coté du Verseau, ou dans le Sexoquizz,
Entre les strings, et les nappes,
Les laves linges ou les livres,
Je t'attrape, je te garde,
Mais pour une seule nuit.
Car l'homme est objet, quand les dames sont seules,
Un peu d'charme de la barbe, tatouage ou piercing,
Costumé, débraillé, ou bien nu sur le sol,
Dans une boîte aux néons qui toujours avilissent.
Au travers de ces nuits, nous sommes des objets,
Au travers de ces temps nous ne sommes pas dupes,
Mais la vérité seule, on ne saura jamais,
Disons que si l'homme est objet,
Il aime trop les jupes...
Écrit par Le troubadour
Le Monde est une scène ou nous ne faisons que passer.
On a pris pour désapprendre. http://gregorperret.blogspot.com/ Catégorie : Drole
Publié le 04/01/2009
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un très beau texte bravo ! | |
stef31 |