Je te voulais rien qu'à moi, à tout jamais dedans mes bras.
J'aurai serré à t'étouffer et tout cela pour pas que tu partes.
Et j'y ai cru rien qu'une seconde, seconde de trop t'es d'jà parti...
J'te voulais fort je t'ai eu costaud et puis goujat, la porte qui claque et puis la femme sur le carrelage.
Une mare de sang comme seule marque de ton départ, des larmes j'en ai plus a bien fallu que j'change de jus.
Un seul baiser comme une promesse tatouée ; et puis une fuite, papa t'avait bien dit pourtant de rester…
Ton absence elle me nécrose ; et cette tendresse bien trop présente...
Et tu me fais mal à en crever ressers tes bras autour de moi, on pourrait croire que c'est génial si c'était pas des barbellés.
coeur qui lève quand je te vois parce que je sais ce que t'as rejeté.
Pourtant un peu maso je vais tout le temps voir ou je peux t'trouver...
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Ce texte es très vrai on recherche souvent une personne que l'on a perdu, le coeur a ses raisonque la raisons ignore Superbe poeme Amitié |
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