Au milieu de l'azur, des vagues, des splendeurs.
Envahit de soleil, de rire et d'amitié.
A grands flots, le parfum, le son et les couleurs.
Le sombre désespoir immaculé par la tranquillité.

C'est là, parmi ces illuminations que je t'ai vu la première fois.
Qui se transforment en purs miroirs, qui font toutes choses plus belles.
L'inattention au début a assouvi mon émoi.
Continuant à rêver éveiller parmi les discussions volatiles et nouvelles.

Mais le crépuscule a traversé l'espace, liant ainsi le soleil à la lune.
Peinture du lieu dessiner avec le pinceau de l'excitation.
Les esprits mélangés, est alors oubliée l'exactitude.
Artifices, éblouissants les moindres réflexions.

Atmosphère troublante, perte de mémoire torturée.
Enfin libre de penser et de faire, extérioriser de moi-même.
Beuverie omniprésente, facteurs de bonheur, manque d'esprit et d'équité.
Hallucination digne du tableau des merveilles.

Le temps qui court est alors essoufflé, paisible.
Je te revois dans mes souvenirs abîmés, paisible, où règne calme et volupté.
Toi qui est si belle, aux charmes ignorés.
La distance rend l'amitié difficile... accessible.

J'entends au loin une musique nouvelle...
Une artiste qui danse au son de l'instantanée.
Les photos vieilliront, mais toi tu resteras, caressées par la mélancolie éternelle.
Dans le passé, le présent est ainsi restauré.

Chaque jour l'imagination rêve et s'assoupit sur l'onde infinie.
Encrée dans mon esprit formant un tableau d'art.
Qui hantent les heures du matin et du soir.
Tu en fais partie, toi..., symphonie d'après-midi.