Faire fi du sang qui coule.
Une histoire typique, dénudée de sens
Une âme ridiculement triste s'offense
Le porteur du geste qui ignore son action
Refuse d'assumer son geste, à quoi bon!
C'est idiot, moi aussi j'ai déjà été fou...
Et je ne vois pas en quoi pleurer un tel coup!
N'est-il pas, qu'il y a eu des choses pires?
Qu'en dépit de la douleur il vaut mieux en rire?
Vas de l'avant, petite! Le temps passe, efface
Les blessures auxquelles les ignorants font face,
Et tu apprendras de cette stupide erreur,
Tu en ressortiras plus forte, n'aie pas peur!
Oui, moi aussi j'ai assassiné le pardon,
J'étais sot, j'ai même osé défier la raison!
Ignore de ton mieux les cris quand le sang coule,
Et enfonce toi secrètement dans la foule…
Écrit par Louis-palmer
LA ROUE TOURNE
Catégorie : Divers
Publié le 23/04/2010
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Commentaires
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Posté le 24/04/2010 à 08:25:48
belle écriture, louis, ta violence s'apaise un poil dirait-on et c'est bon signe il y a encore de la tendresse dans ce foutu monde la preuve : je t'aime tendrement, si tu veux bien ! malcommode ! | |
flipote |
Posté le 24/04/2010 à 14:22:13
La violence s'apaise pour laisser place à un beau poème qui déborde d'émotion ! Il ne laisse pas indifférent... Bisous Louann |
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louann |