Quand sur mon dos courbé vint se faire pousser des ailes,
Il y a cet envol, et mes désirs invisibles
Un voyage idéal de l'être aux songes sensibles
Cette braise folle, à souffler pour la voir grandir,
Une lueur d'idées claires, ma mélodie du cœur
Peut sans soucis vous taire, me corrompre, et s'accomplir.
Qu'importent les ombres que m'apporte la lumière,
Mon livre grand ouvert se voit délié par mes doigts
Qui vibrent aux cordes sincères les touches de mon piano droit.
Écrit par Luca
"Il y a celui qui sent avant de manger, et celui qui mange."
Catégorie : Amour
Publié le 27/10/2013
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