Les pieds martelant le pavé mouillé, la pierre
Dont elle ne sent pas le froid, elle s'élance
Se faufilant entre des ruelles étroites, fière
Vers le rendez-vous de la fête et de la danse
Elle court comme dans les sentiers d'autrefois
Où les virevoltes des feuilles étaient cadence
Quand elle vivait loin des caprices des rois
Ignorant la misère et la décadence
Et, en valsant suivant le cours de ses émois
Un voile de rêve gardé sous les paupières
Elle parvient à offrir, comme à chaque fois
A tous ceux qui la regardent, ses joies d'hier
Écrit par Lucyline
Carpe diem... Pour que les roses poussent, MALGRE TOUT, à travers les épines...
Catégorie : Divers
Publié le 23/11/2008
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Commentaires
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Posté le 23/11/2008 à 19:48:06
un très beau poème ou on se laisse emporté par cette danse de toute beauté | |
nicky |
Posté le 23/11/2008 à 20:30:38
Un joli rythme de danse et de poésie. Mon petit doigt me dit que tu es (un peu?) cette Esméralda, n'est-ce pas ? |
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Ombre & Lumière |
Posté le 24/11/2008 à 15:15:07
Très beau ! | |
Alexandre-glaucos |
Posté le 24/11/2008 à 16:09:11
Esméralda, un peu d'éternel féminin vers lequel volent tous mes soupirs d'humble Gringoire... ;) | |
Bleys |