Au vert de l'herbe
à l'ombre qui passe
aux nuages indociles.
Au vent modulé
qui rend le soleil
dès la fin d'avril.
Au jaune prairie
qui traîne ici et là
sur les genêts et les pins.
Aux souffles aux passades
isolés et perdus
aux soupirs éteints.
puis à toi mon amour
au passé à l'instant
à l'avenir.
à l'eau à l'air
à la lumière
qui parfois semblent s'enfuir.
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Commentaires
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Posté le 02/06/2012 à 10:39:39
Beaucoup de fraîcheur dans ce petit poème. Il m'a mis de bonne humeur car j'aime l'amour et il n'y a jamais assez de preuve de son existence. |
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PATGUI |
Posté le 02/06/2012 à 11:16:51
Une splendeur ! ma Marie que j'aime depuis si longtemps, écris plus souvent, baisers ! | |
platon |
Posté le 02/06/2012 à 12:09:06
A la bonne santé de ta poésie Grande Dame ! Merci d'être présente pour nous offrir ta douceur. Je t'embrasse. |
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Iloa Mys |
Posté le 02/06/2012 à 13:27:02
Une lumière filante mais que tu viens de capter à jamais, un doux voile qui se lève et on découvre que l'amour est bien là. Bisous Marie L *** |
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Yuba |
Posté le 04/06/2012 à 22:00:23
Non la lumière ne s'est pas enfuie, la flamme demeure ! Joli intermède nécessaire. Bises |
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zenobie |
Posté le 14/06/2012 à 10:57:18
Délicat, comme toujours :) al; |
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spock27 |
Posté le 17/06/2012 à 01:03:56
Un grand bain de douceur, une allégorie qui amène à ce qui rappelle la fin du jour. Demain le soleil se lèvera, comme toujours ! |
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saumon |
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