J'ai vu un enfant avec son père,
Qui était muet mais qui sans un mot,
Savait dire à son fils tout ce qu'il faut,
Et l'Amour parlait par ses yeux verts.
J'ai vu un homme avachi dans les couloirs,
D'un hôpital inconnu, froid et silencieux,
Accablé de douleur et sans plus d'espoir,
De revoir un jour peut-être les temps heureux.
Un autre jour, c'était une frêle jeune femme,
Qui lisait seule sur un banc dans un parc,
Et qui mettait tout son cœur et toute son âme,
Dans les difficiles écrits de ce vieux Plutarque.
J'aurai voulu prendre ces gens dans mes bras,
M'abreuver de leurs joies et de leurs tristesses,
Et voir miroiter au fond de leurs yeux cette aura,
Qui fait d'eux tous des dieux et des déesses.
Écrit par MATHEOSILVIA
Cynique par expérience ! Poète par inclination !Courageux par nécessité ! C'est Moi !
Catégorie : Divers
Publié le 24/07/2008
|
Ce texte est la propriété de son auteur. Vous n'avez en aucun cas le droit de le reproduire
ou de l'utiliser de quelque manière que ce soit sans un accord écrit préalable de son auteur.
Poème Précédent | Poème Suivant |
Divers à découvrir... | Poèmes de MATHEOSILVIA au hasard |
Commentaires
Annonces Google |
Posté le 24/07/2008 à 18:00:11
c'est beau, bravo ! | |
luka |
Posté le 24/07/2008 à 20:49:35
que dire de plus. j'attends le prochain avec impatience | |
Phoenix |