†Belle Røse, tømbe avec le temps, tes pétales,
Søus un majestueux chant des cigales.
En tøi, encrées, tes éhøntées épines,
Que tøn prøfønd cœur vierge, illumine,

Effluve des quatre saisøns, tu me transpørte,
Que de fermer, je n'øserais, cette pørte,
Me permettant, d'entrer dans ce devin mønde,
Øu Røses diverses et variées naissent à la rønde,

Belle Røse, Je ne peux plus me séparer,
De ta douce et exquise vénusté,
Offrant à mon cœur un semblant,
De cømpagnie depuis un certain temps.

Effluve des quatre saisøns, les nuits, je pense,
A te garder pour møi sans tenter une déviance,
Mais juste de quøi me délecter et de savøurer,
Sans lassitude aucune, ta perpétuelle beauté. †

M.²s